



Sans surprise, squelettes et zombies se jettent sur les fanatiques qui ayant percé se retrouvent isolés du reste de leur armée. Absolument enragés ces derniers ne perdent rien de leur frénésie et accueillent les morts vivants avec des hurlements de déments !


La troisième unité de squelettes, encore excentrée du reste des combats, poursuit son approche lente mais inexorable vers les miliciens. Ces morts dans leur marche lente, silencieuse et implacable sont une vision infiniment plus effrayante que des barbares vociférants qui se rueraient au combat !


Sous un voile de brume, les combats cruciaux qui s'engagent vont être déterminants dans l'issue de l'affrontement qui désormais fait rage en de multiples endroits.


Malgré la menace des dévots de Sigmar, Ben Shaytan parvient à canaliser suffisamment de magie pour animer encore quelques cadavres qui sortent de la boue sur les arrières des réserves ennemies qui se croyaient encore en sécurité.


Walack lance lui aussi son sort de soutien magique, donnant à ses fantassins plus de réactivité.


Le prophète auto-proclamé des flagellants veut s'en prendre au nécromant, mais voit sur sa route le champion squelette envoyé protéger son maître. Le mort vivant abat son ennemi ralenti par son lourd fléau.


Si les pertes causées par les forces de la non-vie sont peu nombreuses, la nouvelle pluie de coups de fléaux fracasse tout ce qui se trouve à portée, squelettes et zombies sont disloqués, même Ben Shaytan est vulgairement éliminé sous la violence aveugle des Sigmarites déments !



Le relais magique reposant désormais sur Walack seul pour maintenir animés les morts vivants du champ de bataille, tous les squelettes et zombies autour des flagellants s'affaissent, alors que ces derniers continuent de frapper frénétiquement sur les ennemis déjà disloqués au sol !


Le Prêtre Guerrier Akop parvient à grand peine à reprendre le commandement des fous furieux, et leur enjoint de se diriger désormais vers le général ennemi.


Pendant ce temps, Walack jette un défi au Précepteur qui, poussé par son honneur n'a d'autre choix que d'accepter le duel. De taille quasi également que son ennemi pourtant juché sur son destrier, le vampire décapite net son adversaire !


Submergés par l'ennemi et sans plus aucun élan, les Chevaliers Panthères ne fracassent que deux squelettes, pendant qu'un des leurs tombe sous les coups innombrables, l'un d'eux ayant trouvé une faille dans l'armure du chevalier.


Repoussés par le poids du nombre, les chevaliers sont mis en déroute, mais parviennent à s'extirper d'une mort certaine grâce à leurs montures. C'est Walack qui ramassera la bannière de l'élite Impériale et la donnera à un de ses fantassins pour la ramener plus tard au château.


Voir des Chevaliers Panthères fuir un ennemi trop puissant pour eux est un spectacle terrifiant pour n'importe qui, et bien suffisant pour faire paniquer les civils armés qui fermaient la marche ! Tous se dispersent dans les bois.



D'une âme bien trempée, non seulement les Sangliers d'Egling ne cèdent pas à la panique de la déroute des Chevaliers, mais profitent de la situation pour charger de revers l'unité du vampire !
Blessé dans leur orgueil et voulant rétablit l'honneur de leur Ordre, les Chevaliers Panthères se rallient et se repositionnent face au régiment ennemi.


Bien que trop éloignés pour porter assistance, les flagellants vociférants se ruent à travers le bosquet dans l'espoir de pouvoir prendre part au combat dès que possible.


Pour gagner un peu de temps face à l'inéluctable, les Miliciens de Waldenhof reculent en bon ordre de quelques pas.


Plus loin, désormais quasi hors de vue à cause du brouillard, les archers poursuivent leur échappée.


Frère Gotrik invoque le soutien de Sigmar pour triompher de l'horreur là où même les Chevaliers Panthères avaient failli...


Très habile archer, Grand Johann décoche une flèche sur les chauves souris, et en embroche quelques unes dans l'espoir d'obliger la nuée à se disperser au loin ou à venir à portée d'épée.


Probablement pour sauver ses frères d'arme, le sergent des Sangliers lance un défi au général ennemi, espérant au moins parvenir à blesser le monstre, mais la boucherie qui s'ensuit dépasse l'entendement : le malheureux est littéralement mis en pièces !


Toujours sous la protection du sort de Walack, les squelettes s'avèrent plus redoutables qu'escompté, n'accusant que peu de perte, et offrant une virulente réplique qui élimine tout un rang de lanciers ! Frère Gotrik parvient à peine à rétablir la situation à grands coups de marteau.


Au grand étonnement de Walack et malgré le massacre de leur sergent, les Sangliers d'Egling ne flanchent pas.
Jaugeant rapidement la situation, le vampire maintient ses fantassins face à la cavalerie lourde ralliée, et se faisant perd le contrôle de quelques squelettes qui s'effondrent au sol.