

La Campagne des Douze Mois
Scénario 8 :
"Le Château des Ombres"
Tour 4



A peine la Grand Porte du Château fracassée, trois redoutables Fanatiques gobelins s’y engouffrent et se ruent vers les défenseurs massés dans la Cour Intérieure en faisant tourner frénétiquement leur boulet ! Cinq hallebardiers sont impitoyablement fracassés !


Juste à leur suite, un raz de marée de guerriers gobelins se déverse dans la place !


Les Balaizgobs submergent littéralement les défenseurs qui tentaient de les garder à distance, hallebardes tendues !


Le Capitaine Guilhem vide son pistolet sur un des gobelins accourant, faisant voler son crâne en éclats !


Le régiment gobelin d’élite accompagnant Bosskila est pléthorique, et un grand nombre presse ceux de devant pour se mêler au combat !

Les orques poursuivent leur déroute…



…Alors que non loin une violente empoignade éclate au sein des Bléros, paralysant la horde entière, alors que deux d'entre-eux se battent comme des chiffonniers, encouragés par leurs congénères !

Décidément toujours coincé en retrait, les bergers gobelins font de leur mieux pour que les squigs ne dévorent pas tout ce qui bouge à commencer par eux-même !!



Faisant à nouveau preuve de la rapidité incroyable de leur monture, les Zélus dépassent les chevaliers et tournent leur attention sur les arbalétriers !


Popfizz parvient pour la première fois à lancer un sort qui n’est pas dissipé par le sorcier zumin, conférant à ses Zélus et lui-même une aura d’agressivité.

Le Gran Moss est à nouveau prêt à tirer...



…Mais les cibles sont lointaines et par-delà leurs propres troupes !

Pourtant, une fois encore la pluie de rocher fait mouche, et cette fois avec une mortelle précision !!



Douze victimes sont écrasées sous les blocs mortels parmi les volontaires civils, ainsi qu’un lancier plus au loin !

Dans un claquement sec, un nouveau kamikaze est expulsé…



Décidément protégé par Sigmar, Karassoli qui est à nouveau ciblé par le Plongeur de la Mort s’en sort indemne, alors que le kamikaze s’écrase contre le mur de la tour dans un « splatch » écœurant !

Les Zarchés d’Ooglook tirent quelques flèches sur la garde du boss zumin, et un des Joueurs d'Epée s'effondre, percé en plein abdomen.


Conscient qu'il ne peut sauver sa peau, dans un dernier geste héroïque, le Lieutenant Klaus Dietrich enfonce son sabre jusqu’à la garde dans la gorge d'un orque noir, avant de périr sous une pluie de coups meurtrier, rejoignant son adversaire dans la mort.



Les terribles Ironjaous déferlent librement dans la Haute Cour et se dirigent droit vers le boss des zumins et sa garde, alors que d'autres orques noirs continuent d'émerger de la tour de siège.


Dans la Cour Intérieure le combat fait rage.


Le Capitaine Guilhem saute de son promontoire pour se mêler aux combats, debout sur la charrette.
Cinq hallebardiers périssent sous les coups des redoutables Balaizgobs. Entravés par les filets des rétiaires les défenseurs n’éliminent que deux gobelins d’élite, dont le champion, décapité par Guilhem en personne.

Les deux gobelins tombés sont vites remplacés par pléthore de nouveaux arrivants, qui font reculer les hallebardiers sous la poussée ; mais encouragés par leur Capitaine au cœur de la mêlée, les défenseurs tiennent bon. Comprenant l'emprise que ce dernier a sur ses hommes, Bosskila en personne se fraye un chemin pour le combattre.



Toujours avide de nouveaux adversaires, Maître Pompadour provoque le champion des Sparssiats, qui relève le défi, mais se fait lui aussi massacrer avant d’avoir pu porter le moindre coup !


En revanche, l’unité se montre redoutable, et s’ils n'arrivent pas à trouver de faille dans les solides armures de leurs ennemis, le mur de lances entrave si bien les chevaliers qu’ils ne parviennent pas à placer le moindre coup, et finissent même repoussés sous le poids du nombre de leurs ennemis !...


Contre toute attente, les Sparssiats font dérouter la cavalerie lourde et trucident les chevaliers avant qu’ils n’aient eu le temps de faire faire demi-tour à leur monture ! Ils s’emparent d’un trophée de choix avec la bannière des Templiers.



Plus loin, les hallebardiers réservistes qui ont assisté au massacre comprennent qu’ils vont devoir à leur tour faire face aux redoutables orques !


Les Sparssiats poussent leur cri de guerre tonitruant :
« WALOU WALOU WALOU !!! »



« Pour Ulric et pour Sigmar !! »
Les joueurs d’épée prêt à défendre leur commandant jusqu’à la mort chargent les orques noirs

N’écoutant que leur bravoure et avides de venger les Templiers, les Hallebardiers se ruent sur les orques qui ont à peine le temps d’incliner leurs lances et brandir leurs larges boucliers pour réceptionner la charge.



Les autres éléments des renforts poursuivent leur approche, notamment le Sergent Thibau qui est parvenu à empêcher les derniers volontaires civils de fuir après la perte de la plupart d’entre eux sous le tir du colossal trébuchet.


Les Sangliers d’Egling se hâtent au mieux pour rejoindre les combats.


Mais c’est probablement dans la Haute Cour que va se jouer l’affrontement le plus déterminant !


De Brünhoff et ses Joueurs d’épée font face à des adversaires à leur mesure… mais deux fois plus grands, trois fois plus lourds et surtout deux fois plus nombreux !

Alors qu’à proximité, les Cerbères Ecarlates, toujours aussi impassibles, font preuve d’un désintérêt total pour la vie des Hommes de l’Empire !!



Le combat fait rage à tous les niveaux à l’intérieur du Château des Ombres, où les courageux Sylvaniens, complètement surclassés par le nombre, tiennent tête avec héroïsme.


Karassoli, invoque la foudre sur le troupeau de squigs, et dans une violente déflagration, un gobelin et trois monstres sont tués net.


Puis, comprenant que la situation devient critique, le sorcier Céleste déploie la totalité de sa puissance magique pour projeter une aura de bénédiction sur tous les défenseurs alentour, leur permettant ainsi de réaliser des prouesses au combat, ce qui risque fort de s’avérer indispensable !

Toujours aussi efficaces, les archers d’élite en haut des remparts abattent trois autres squigs et un gobelin supplémentaire.


Comme dit le dicton : « Un mercenaire n’est jamais aussi efficace que lorsque sa propre vie est en jeu ! » Les Panthères de Franco criblent les chevaucheurs de loups qui les menaçaient, fauchant trois d’entre eux !



Devant le danger d’une autre salve meurtrière, Popfizz et ses Zélus préfèrent détaler !

Les mercenaires, expérimentés et disciplinés, sont déjà en train de réarmer leurs arbalestries.


Malgré la longue distance, les Flèches Noires abattent un squig d’une flèche bien placée.



Juste à proximité, le combat faire rage ! Les hallebardiers tuent cinq orques grâce à leurs armes d’hast frappant verticalement par-dessus les boucliers des ennemis. Mais la réplique des Sparssiats est terriblement efficace, trucidant dix fantassins !


Les réservistes tentent de fuir mes sont massacrés impitoyablement par les Sparssiats, qui s’emparent d’un nouveau trophée !
« WALOU WALOU WALOU !!! »

Dans la Cour Intérieure du Château, les combats sont également sans merci.
Voyant approcher le redoutable général gobelin, le Capitaine Guilhem le provoque en combat singulier, espérant le tuer et démoraliser ses troupes. Les deux protagonistes semblent d’égale valeur, chacun parvenant à blesser son adversaire.



Les Dragons de Noailles tuent trois gobelins d’élite, mais perdent deux des leurs. Si chaque gobelin tombé est remplacé par deux nouveaux arrivants, les Dragons, eux, ne sont désormais plus que huit !

Mais faisant preuve d’une volonté de fer, les Dragons tiennent bon.
« Hardi, Hardi ! »



Au-dessus, l'élite des deux armées se combattent dans une mêlée mortelle.
Ironjaou et ses Ironskouls, un kikoup dans chaque main, font pleuvoir les coups et fauchent impitoyablement cinq Joueurs d’épée. La réplique des autres éventre quatre orques noirs, dont les solides armures ne sont d’aucune utilité face aux terribles revers d’espadons.

La tour de siège se vide enfin de ses derniers orques mercenaires tandis qu’Ironjaou en personne se retrouve au cœur des combats. Les terribles mercenaires orques noirs se frayent un chemin sanglant vers le général ennemi, Commandant des défenseurs de Sylvanie, alors que les Vétérans du Barons se sacrifient pour stopper la marée de violence, de muscles et d'armures !
