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Plus importante unité de Sylvanie, ces hallebardiers sont ce qui se rapproche le plus des régiments militaires de métiers des autres Provinces.

S'entrainant et combattant régulièrement, ils possèdent une discipline et une efficacité peu commune sur le champ e bataille. L'histoire du régiment remonte au temps des Von Drak, d'où l'héraldique de leur bannière.

Noailles et le nom du fort, au nord de la Sylvanie, d'où le régiment est en casernement.

De loin, leurs tenues et couleurs semblent étonnament riches pour une unité de Sylvanie, Province connue entre toute pour sa pauvreté. Mais de près, l'aspect hétéroclite des équipements et l'usure des uniformes sont plus en accord avec leur origine. En revanche, leur courage et leur coeur au combat n'ont rien à envier aux régments d'autres origines.

Les Dragons

de Noailles

Voici les 50 hallebardiers qui forment le régiment.

C'est à ce jour ma plus grosse unité de l'Empire.

Comme à mon habitude, j'ai mixé différentes figurines de différentes marques et époques, le résultat indiscipliné sied très bien aux troupes de Sylvanie.

J'ai pris soin de positionner les hallebardes de manière dynamique : plus on s'approche du premier rang et plus elles sont inclinées. De même, plus l'on s'approche des extrémitées de l'unité et plus elles divergent du centre. Et ça le fait !

L'état major des Dragons de Noailles.

La couleur additionnelle au schéma de couleur beige et vert est le rouge (plumes, rubans etc.)

Toutefois je n'ai pas peint en rouge le dragon sur l'étendard mais ai préféré le peindre de la même manière que les motifs de mes autres bannières.

La bannière d'un peu plus près. Lors de la photo je me suis rendu compte que je n'avais pas éclairci le recto de l'étendard, je l'ai fait après coup.

Ce dragon précis, outre le rapport avec le nom du régiment, était une icone propre à la vieille Sylvanie, bien avant l'arrivée des Von Carstein (Héraldique et Uniformes de l'Empire).

Le nom des "Dragons de Noailles" est un chant militaire de l'armée Française, inspiré de troupes ayant existé, que j'ai du apprendre lors de mon service, et j'ai trouvé amusant d'en recycler le nom içi.

Quelques hallebardiers. Celui de gauche est un vieux modèle, tout comme les trois du centre, qui sont basés sur des lanciers de l'Empire de la V5 auxquels j'ai évidemment mis des lames de hallebardes et ai aussi procédé au changement de certaines têtes afin d'éviter l'effet "copier coller". D'ailleurs, saurez-vous reconnaître d'où vient la tête de celui du centre ? Seul les plus vieux le pourront !

Quand au modèle de droite, c'est de la gamme actuelle, avec pleins de détails sympas à peindre, mais que l'on ne voit pas sur la plhoto (parchemins, sablier, ossements reliques etc.)

Quelques modèles moins conventionnels d'une gamme alternative. Ils représentent à merveille l'aspect sombre et médiéval de la Sylvanie. Ils font très Bretonniens certes, mais dans la mesure où chaque guerrier du régiment doit fournir ses propres armes et équipements, j'ai trouvé que cet aspect disparate convenait bien à un régiment de cette Province, où certaines régions sont plus recluses et moins civilisées que d'autres.

Pour faciliter les choses, j'ai utilisé sept socles régimentaires, veillant à chaque fois à mixer au mieux les figurines de différentes gammes et époques sur chacun d'eux.

On ne les voit malheureusmeent guère voir pas du tout sur les photos, mais comme à mon habitude, j'ai parsemé tout pleins de petits détails de ci de là qui donnent vie aux figurines : expressions de détermination ou d'inquiétude, de colère ou autre, nez rouges, blessures, équipement usé... De même pour les couleurs de cheveux, où l'on voit de tout, même quelques rouquins. Plusieurs de ses expressions suivent ci-dessous.

Quelques clichés pour vous partager le travail des expressions sur les visages :

Le nez aviné du premier hallebardier prouve son penchant chronique pour l'alcool, il n'en demeure pas moins

prêt à combattre avec hargne.

Le second fait preuve d'une froide détermination.

Le sergent Reithiers hurle ses ordres, couvrant de sa voix puissante le tumulte du champ de bataille.

Le porte étendard regarde la hampe de sa bannière qu'il agite avec effort pour donner du coeur à l'unité. Notez le bleu sur le coté de sa bouche tuméfiée : peut-être une bagarre de la veille ?

On ne saurait dire si le soldat de gauche est pétrifié de peur ou si il est tout simplement benet !

En tout cas celui de droite, ayant certainement une grande quantité d'alcool dans le sang, est résolu à faire face à l'adversaire.

Le premier hallebardier semble en train de combattre ses propres peurs, alors que le second, très aggressif, insulte les ennemis pour les provoquer !

Le premier vient de la Sylvanie profonde, comme le prouve son équipement vieillot et son air campagnard ; probablement le genre de gars qui roule les "r" lorsqu'il parle ! Il n'en demeure pas moins courageux.

Le second, certainement fils de petit nobliau, est imbu de lui même et pose fièrement de son air hautain.

Le premier est totalement ivre et pose d'un air goguenard, nul doute que dans son état il ne sera guère efficace pour les combats qui s'annoncent ! Et oui, en Sylvanie, l'abus d'alcool est un véritable

fléau ! Le second n'est pas très rassuré et scrute les lignes ennemies.

Le troisième en revanche est un vrai dur à cuire ! Un vétéran qui en a vu d'autres.

Le dernier fait preuve d'une forte détermination.

Les Dragons de Noailles avec le capitaine Guilhem à leur tête.

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